Découvrez les questions premiers secours qui peuvent être posées à l’examen du permis de conduire.

En délimitant clairement et largement la zone de danger de façon visible pour protéger les victimes et éviter un suraccident.

Il faut porter le gilet de haute visibilité avant de sortir du véhicule.

Le triangle doit être placé à une distance minimale de 30m de la panne ou de l’accident, ou avant un virage, ou avant un sommet de côte.

En présence d’un danger réel, immédiat, et non-contrôlable. Ce déplacement doit rester exceptionnel.

La victime doit être visible, facile à atteindre et rien ne doit gêner son dégagement. Il faut être sûr(e) de pouvoir réaliser le dégagement de la victime.

Dans un endroit suffisamment éloigné du danger et de ces conséquences.

L’alerte doit être donnée à l’aide d’un téléphone portable ou a défaut un téléphone fixe ou d’une borne d’appel d’urgence.

Pour permettre aux services de secours d’apporter les moyens adaptés aux victimes dans le délai le plus court.

Le 18 sapeur-pompier, le 15 SAMU, 112 numéro de téléphone réservé aux appels d’urgence et valide dans l’ensemble de l'Union européenne.

Le numéro de téléphone à partir duquel l’appel est émis, la nature et la localisation la plus précise du problème.

En indiquant le numéro de l’autoroute, le sens de circulation et le point kilométrique.

Uniquement lorsque notre correspondant nous invite à le faire.

Car il peut nous conseiller ou nous guider dans la réalisation des gestes à faire ou a ne pas faire, jusqu’à l’arrivée des secours.

Avertir la population d’un danger imminent ou qu’un événement grave est en train de se produire.

Se mettre en sécurité, s’informer grâce aux médias et aux sites internet des autorités dès que leur consultation est possible, respecter les consignes des autorités.

Grâce aux sirènes, aux médias tels que Radio France et France télévision ou encore grâce à l’application SAIP.

Il se compose de deux codes distincts : - Le Signal National d’Alerte (SNA) ; variation du signal sur trois cycles successifs. – Le signal de fin d’alerte ; signal continu.

Lui poser des questions simples (> >), -lui secouer doucement les épaules, -lui prendre la main en lui demandant d’exécuter un geste simple (>).

C’est lorsque la victime ne répond pas et ne réagit pas, mais respire.

La placer en position stable sur le côté ou position latérale de sécurité ; alerter les secours ; surveiller la respiration de la victime jusqu’à l’arrivée des secours.

En regardant si le ventre et la poitrine se soulèvent et sentir l’air à l’expiration.

Si la victime ne répond pas, et ne réagit pas et respire.

Car elle risque un étouffement par ; -Les liquides présents dans la gorge. – La chute de la langue en arrière.

L’arrêt respiratoire et l’arrêt cardiaque.

Le cœur qui ne fonctionne plus ou fonctionne de façon anarchique.

La victime ne répond pas, ne réagit pas et ne respire pas ou présente une respiration anormale.

ALERTER : immédiatement les secours, MASSER ; pratiquer une réanimation cardio-pulmonaire, DÉFIBRILLER ; utiliser un défibrillateur automatique (DAE) si possible.

Car les lésions du cerveau (consécutives au manque d’oxygène) surviennent dès les premières minutes.

La mort de la victime qui survient en quelques minutes.

C’est un appareil qui peut permettre de rétablir une activité cardiaque normale à une victime en arrêt cardiaque.

Non, car le défibrillateur est automatisé et se déclenche uniquement quand la victime est en arrêt cardiaque.

C’est une perte de sang prolongée qui ne s’arrête pas. Elle imbibe le mouchoir en quelques secondes.

En appuyant fortement sur l’endroit qui saigne avec les doigts ou avec la paume de la main en mettant un tissu propre sur la plaie.

Entraîner pour la victime une détresse circulatoire ou un arrêt cardiaque.

À partir de 10 ans.